Ferme de Sainte Marthe

Une saison à la Ferme de Sainte Marthe…

La saison des ventes bat sont plein depuis février.

L’équipe fait tout son possible pour assurer l’expédition des commandes en temps et en heure. Tout le monde se met au diapason et le jardinier qui attend ses graines pour faire ses semis est au centre de toutes nos préoccupations.

Du coup, du coté de notre terrain des Landes (situé à 1 km de l’atelier), nous avons pris un très léger retard pour les semis nécessaires à la production de semences. Nous sommes arrivés au bout de la conversion du terrain sur lequel nous avons installés trois tunnels de 500 mètres carrés. Cette année, nous souhaitons ajouter 2300 mètres carrés supplémentaires à cette production pour faciliter les isolements et ainsi améliorer la qualité de nos semences. Si les plantes allogames doivent être isolées de façon stricte, nous faisons le choix cette année d’isoler aussi les autogames (tomates, aubergines…) pour nous assurer d’une maintenance idéale et éviter toute pollinisation croisée.

Ferme de sainte marthe

Thierry veille sur les semis sur les Landes, février 2017

Le jardin d’essai prend lui aussi de l’ampleur, les enjeux sont multiples, cela nous permet bien évidemment de vérifier la qualité de nos semences mais aussi de tester des nouveautés, vérifier notre maintenance, faire des photos pour le catalogue, le site internet et bien sûr goûter et faire goûter.

Portée par le succès du bio ces dernières années,

la Ferme de Sainte Marthe a essayé de répondre à des volumes grandissants, en produisant, en améliorant son service, en réduisant les délais de livraison (même si certains trouveraient sans doute encore à redire, nous acceptons les critiques et notre perfectibilité). Mais aujourd’hui, nous devons faire encore mieux, nous remettre en cause une nouvelle fois, il ne suffit plus de coller un label sur nos sachets et nous voulons faire progresser à la fois nos façons de faire mais aussi nos petites personnes. Nous insistons souvent sur le respect de la clientèle qui passe évidemment par le respect de chaque geste, envers ses collègues, son entourage, le respect des lieux dans lesquels nous travaillons, le respect de la terre que nous travaillons, le respect de la faune que nous dérangeons.

Ferme de Sainte Marthe

Nous avons d’ailleurs signé un partenariat avec la LPO (Ligue pour la Protection des Oiseaux) dernièrement et l’objectif de réduire notre empreinte est plus que jamais bien présente. Mais c’est un autre, et vaste, sujet dont nous ne manquerons pas de vous en reparler prochainement !

par Dominique Velé.